Juin...
Il pleut, il fait frais, il fait humide, il fait chaud, c'est sec. Tu te décides pas, batard! T'es tellement le sixième mois de l'année, grosse merde!
Quand je pense à toi, le coeur me lève. Je sais tellement plus comment m'habiller, je suis mortifié lorsque j'arrive devant mon garde-robe. J'fais quoi, là?! Fait beau, fait froid, il pleut, fais soleil, c'est nuageux, c'est chaud, probabilité d'averse, possibilité de grêle, pluie de sauterelles, possibilité des quatres cavaliers de l'apocalypse dans le ciel (donc bobo en perspective), pluie acide, rayons UV, rayons lasers, arc-en-ciel avec p'tit irlandais au bout, passage de licornes, parade de lions chauves, etc.
Alors, j'suis là, dans ma chambre. J'met quoi? Un manteau, un chandail manches longues, un hoodie, torse nu, un chapeau, une tuque, une casquette, un jersey des Red Wings de Detroit?
C'est comme une adolescente de 15 ans. Il sait pas trop ce qu'il veut, il dit de quoi et il change d'idées, il fait son difficile, il boude et il écoute Ramdam. Get a life, juin.
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2 commentaires:
Juin c't'une sale agace.
Juin est comme Morphée.
C'est une sale pute.
Mais bon. Merci bloggeur. Je ne suis pas la seule en crises l'existentialisme devant ma garde robe.
Qui, que, quoi, ou, comment et surtout POURQUOI.
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